What's the matter Mr. Bill Hart. Surprised that I tought your wizard everything he knows! More research my man err woman, next time!
 

FICTIONMANIA

Fiction: Something Invented by the Imagination
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Random Reviews

Good story idea....would like to see someone continue.
A New Bunny     Details
Dear Alyssa Excuse-me heckle you thus as familiarity, but I could not make otherwise, so have been great the pleasure obtained by the perusal of your histories. You’re with Brian and Jacky Pett one of my author TG preferred. Having particularity appreciated Rebirth, I’ve translated this history in French. In order that this magnificent and tender history touches more peoples again, I request your agreement to publish it on TV Quebec, the most important site French-speaking TG, [email protected] I would add that I’ve written five histories and translates six. Rebirth would be the seventh. I am French (Britain) and very bad some English, also forgive-me for this small very approximate preamble. Reassure you, my translations of English for French are well best, I think to have reached to restore all qualities of your account. Friendly, Sylvine. Renaissance. Par Alyssa Davis Je savais que j’aurais dû vérifier la météo avant de prendre l’air. Le climat de novembre peut être très délicat dans cette région, il peut changer rapidement... Il neigeait lourdement maintenant, j'étais maintenant inquiet car je n'étais pas sûr de savoir où j’étais. J'estimais qu’il me restait environ la valeur d'une demi-heure de combustible dans mon mono-moteur Cessna 172. Incapable de prendre contact à la radio avec n'importe qui, je me sentais bien seul dans ce monde blanc. Pour la première fois, je ressentais une impression étrange de crainte... de panique peut-être, une sensation de confusion. Était-ce la fin ? Regagnant mon sang-froid, j’essayais de trouver un endroit pour tenter de me poser... Mais tout ce que je pouvais voir, c’était des arbres blancs de neige... de neige fraîche. J'avais un problème. Un problème réel. Pire, je n'avais pas d’équipement de survie... ni même de vêtements d’hiver. Cela devait être un vol de routine. Oh, pourquoi je n’ai pas vérifié les bulletins météorologiques... trop tard maintenant. Le moteur tournait rond, mais je sentais que les commandes répondaient de plus en plus mollement, elles commençaient à givrer. Je perdais de l’altitude et de la vitesse. Mon altimètre descendait lentement. Du blanc... du blanc partout. Avant que je réalise, impuissant à répondre, mon train d'atterrissage touchaient la cime des arbres. Je coupais le moteur et ouvrais la porte comme cela m’avait été enseigné lors d’un atterrissage d’urgence. Trop tard, les roues accrochaient les arbres, l'avion chutait, et se brisait dans les arbres. Je tombais par la porte ouverte, encore ceinturé dans mon siège, tombant lourdement sur la neige fraîche recouvrant le sol. Je ne sais pas à quelle distance j’étais de l’avion, je me suis évanoui tout de suite après que le réservoir éclaté a laissé s’échapper le carburant sur le moteur chaud. Des flammes... Je me réveillais dans un lit, dans une pièce chauffée... une cabane... une cabane de rondins. Je devenais rapidement conscient du fait que j'étais nu et enroulé dans une lourde couverture de laine. Regardant autour de moi, je remarquais une cheminée en pierre au fond de la pièce, elle diffusait une chaleur confortable. Les lampes à gaz du plafond donnaient une douce lumière contrastant avec celle des flammes oranges de la cheminée. C’était comme la cabane de rêve au fond des bois que j'avais vu dans des brochures de ventes pour des cabanes en rondins. Je pouvais entendre le vent hurler hors de cet environnement douillet. Comme mes yeux se concentraient plus clairement, je voyais un grand homme robuste, vêtu d’une chemise à carreaux et d’une salopette de travail, placé à côté d’un évier blanc émaillé dans une pièce qui paraissait être la cuisine. "Où suis-je ?" Je murmurais, me sentant encore groggy. "Ah, vous êtes réveillé... vous avez fait une sacrée chute... ça fait longtemps" il répondait, s’approchant de moi. "Combien ?" " Oh, un jour et demi. Pourquoi étiez-vous dehors par un temps pareil ?" "Je venais de l’Idaho, je me dirigeais vers Billings... Mauvais temps. Les commandes givrées... le crash. Le feu. C’est tout ce que je me rappelle." "Une chance pour vous que j’ai vu le feu. J'étais dehors quand j'ai entendu le bourdonnement d’un avion volant très bas. Je me suis demandé quel dingue volait par ce temps pourri. Heureusement, je vous ai trouvé dans la neige. Vous semblez OK, mais votre avion est en cendres. Vos vêtements étaient déchirés, vous étiez mouillé, je vous ai dévêtu et vous ai enveloppé dans cette couverture. " "Je devine que je vous dois... vous m’avez sauvé la vie. Merci," je disais, tremblant. Je me sentais mieux, mais très affamé et assoiffé. Je m'asseyais lentement sur le lit. Avant que je puisse le demander, mon hôte s’est approché avec un bol de ragoût chaud et une timbale de café. Il m'a aidé à m’asseoir, glissant un oreiller derrière mon dos. C’était un homme grand, un géant, mais très doux. Je prenais le café et égouttais presque la tasse, m’arrêtant juste pour souffler. "Je m'appelle Jack Clark... où sommes-nous ?" Je demandais. " Hi Jack... Je suis Ben Davis. C'est mon ranch, et nous sommes dans le Montana... à deux cent miles à l’ouest de Billings. " Il semblait amical et reconnaissant d’avoir quelqu’un avec qui parler. Moi, j'étais juste reconnaissant d’être vivant. "Nous sommes bloqués ici par le blizzard. J’ai encore de mal à croire que quelqu’un volerait par ce temps. La dernière chose que je m'attendais entendre était le son d'un avion !" " Yeah c’est vrai, personne de sain d’esprit ne volerait par ce temps, mais je n’ai pas vérifié la météo avant de partir, comme un imbécile, et je me suis presque fait tuer. Combien de temps allons-nous être bloqués ainsi ?" " Oh, peut-être un mois. Tout est bloqué. J'ai été enneigé ainsi tout l’hiver dernier. Dépend du temps," Ben répondait avec fatalité. Le climat était une routine pour lui mais pas pour un visiteur inattendu. " Hum. J’espère que ça ne vous gêne pas trop d’avoir un invité aussi longtemps. Ben, qu’est-ce que je peux faire pour mériter mon hébergement ?" " Aw, c’est gentil à vous de penser à cela, mais ça me fait du changement. Nous trouverons bien des choses à faire." "Est-ce que vous avez un téléphone ou quelque chose ? Peut-être que je devrais avertir quelqu'un." Maintenant, j'avais terminé le ragoût chaud et épicé et me sentais plus fort et pensais plus clairement. Ben prenait le bol et le plaçait dans l'évier. "Bien, je sais, mais les lignes sont... c’est comme les lignes haute-tension, tout est en bas. Ca va prendre du temps avant qu’elles soient réparées." « Donc, je suis ici pour un bon moment. Dites, Ben, je ne voudrais pas passer pour un parasite, mais, auriez-vous quelque chose à me prêter ? Je veux dire, je ne voudrais pas passer un mois dans une couverture..." Ben commençait à rire. "J'aimerais bien partager mes affaires avec vous Jack, mais je fais au moins deux fois votre taille. Mais je vais voir ce que nous pouvons faire." Ben ouvrait des tiroirs et sortait un caleçon long. Plusieurs tailles entre lui et moi. De même pour ses pantalons. Ses chemise m’allaient comme une chemise de nuit sur ma stature 1,65 m, et mes 60 kg. Ben fait environ 1,95 m et au moins 120 kg. Trente centimètres plus grand et deux fois mon poids ! " Yep, je pensais si... vous êtes un type plutôt petit. Vous n’avez même pas de poils sur votre corps pour vous réchauffez. Comme une femme. Hummm. Bien, il y a une autre possibilité, mais vous pourriez ne pas l'aimer, Jack." "À ce point, Je suis ouvert à toute idée... qu’avez-vous en tête, Ben ?" " Ah... bien, vous voyez, j'étais marié une fois, mais ma petite dame est morte. J'ai encore ses choses dans un coffre. Je n'avais pas le cœur de m’en débarrasser... elle était environ de votre taille... " Sa voix traînait avant de s’éteindre dans un sanglot. "Je suis désolé de l’apprendre... est-ce que vous avez été mariés longtemps ?" "Seulement cinq années. Mary est tombée de cheval, la tête contre une pierre... arrivé si rapidement." Sa voix s’étranglait, encore. Je ne voulais pas continuer la conversation. C’était ouvrir une vieille blessure. La pensée d’avoir perdu sa femme... alors, je me souvenais ce qu’il voulait me dire, qu’il avait gardé ses vêtements... "Attendez une minute, est-ce que vous suggérez que je porte des vêtements de Mary ?" "Vous avez une meilleure idée ? Vous êtes de sa taille. Vous voulez les essayer, ou geler ? C’est votre choix. Personne ne vous verra, à part moi. L’important est d’avoir quelque chose à porter, c’est tout." Il avait raison... Je n'avais pas le choix. J’ai incliné la tête en acceptation de ce qu’il me semblait finalement une offre généreuse. Il sortait une grande malle de la pièce d’à côté. Ouvrant le couvercle, je découvrais un grand assortiment de vêtements de femme. Attentivement, il sortait chaque article et doucement les posait sur le lit. "J’ai gardé toutes ces affaires, je ne sais pas pourquoi... je ne pouvais m’en débarrasser... " il murmurait. Maintenant, j’avais honte de les porter, non parce que c’était de affaires de femme, mais surtout parce qu'elles avaient été à la femme de Ben... "Allez, essayez quelque chose... peut-être que vous pouvez les employer. Ne soyez pas timide." Je sélectionnais des blue-jeans. La longueur était parfaite, un peu grand dans les hanches, mais je ne pouvais pas boutonner la taille... trop serré. J'essayais un chandail. Taille parfaite. Comme je triais les articles, je sélectionnais des vêtements avec une taille élastique ou en stretch, essentiellement des jupes et des robes. C'était des vêtements d'une jeune femme d’environ ma taille, comme Ben avait dit. De bien jolies choses... elle avait bon goût. Je passais une longue jupe de coton à frange, elle était à ma taille. Maintenant, au moins j'avais quelque chose à porter. Ben s’était éclipsé pour laver mon plat, il voulait me laisser seul. Je trouvais les sous-vêtements... des slips, des collants et des fonds de robe . C’est nécessaire pour me maintenir au chaud... À ma surprise, même ses chaussures étaient à peu près à ma taille. Maintenant j'avais une nouvelle garde-robe. C’était peut-être pas la manière la plus chaude de s’habiller, ni la plus appropriée, mais bon. Prenant seulement ce que j’avais besoin, je pliais attentivement le reste et les rangeais dans la malle. "Okay, Ben... Je suis habillé, merci." "D'accord, Jack... Je garderai cette malle accessible dans le cas où vous en voudrez d’avantage." Il ré-arrangeait sa commode pour me donner un tiroir. Ensuite, il me faisait faire le tour de sa maison, me montrant la salle de bain bien équipée, le cellier, la cuisine et les chambres. C’était une grande cabane de rondins avec des pièces mansardées. Assez moderne, il y avait l’eau chaude et froide et une salle de bain avec baignoire et douche. Une cuisine avec les appareils fondamentaux... l'évier, cuisinière à gaz, réfrigérateur. Tout le nécessaire. Il a préparé un lit supplémentaire avec draps et couvertures. Je lui demandais comment il pouvait continué à bénéficier de l’eau courante sans électricité. "J'ai un générateur relié à une éolienne pour alimenter la pompe." "Et pour la lumière et la radio ?" "J'emploie le propane pour la lumière, la cuisson, l’eau chaude, et le chauffage si je n'utilise pas la cheminée. Le radio ? Je l'emploie rarement, et nous ne recevons pas la TV ici." Bien, je pensais, c'était une vie isolée et douillette. Ben était un bon intendant... tout était ordonné, propre et rangé. Je commençais à chercher des choses à faire pour me rendre utile. Je commençais par aider Ben à préparer le dîner. Cela devait être une jolie image... le grand et fort Ben travaillant avec le petit Jack dans une jupe et chandail, paraissant comme sa femme, sauf pour les cheveux courts. C’était certainement une nouvelle expérience pour moi, porter des vêtements de femme... Nous passions le temps durant le dîner à mieux se connaître. Comme nous allons vivre ensemble les prochains mois, il y avait beaucoup à discuter. Commençant avec des blagues masculines habituelles, nous avons continué avec le temps qu’il fait, mon expérience de pilote, etc. Mais il m’était difficile d’oublier mon habillement féminin. Préoccupé par cette image, je me mettais bientôt en position d’écoute passive. J’ai assumé les corvées de nettoyage après le repas, tant parce que je sentais une obligation de gagner mon hébergement que pour tenir, en apparence tout au moins, le rôle de la « dame de la maison ». Je l'acceptais comme mon devoir. Ben, entre-temps, est allé vérifier ses chevaux dans la grange adjacente, dont l'un avait contribué à me sauver, et à chercher du bois de chauffage. Le jour prochain, la tempête s’est calmé et nous avons pu sortir. Je portais la parka de Mary et ses bottes. Bien qu’il soit étrange de marcher dans la neige profonde dans une jupe, je trouvais le collant de laine bien chaud et confortable. Ben disposait de grandes granges, où il gardait son bétail par mauvais temps. Je ne sais combien avait-il de bêtes, mais il avait une exploitation importante et assez moderne. Il est vrai que je m’étais attendu à une ferme de western... Il me montrait les installations automatiques pour nourrir et faire boire son bétail. Son job consistait à acheter des veaux et les engraisser pour en faire des bœufs. Bien sûr, durant l'été, ils allaient paître dans la nature. Comme j’offrais mon aide, Ben me montrait comment mélanger leur aliment avec des produis secs, des vitamines je suppose, afin d’accélérer leur croissance. Il ajoutait la poudre pré-mesurée dans une cuve de grain et remuait le mélange sec avec une pagaie de canoë comme on mélangeait le ciment. Cela semblait facile, je pouvais le faire... et c’est ce que j’ai fais, initialement. N’étant pas dans de très bonne condition pour un travail aussi manuel, après peu de temps, j'étais à peine capable de déplacer la pagaie, si bien que je continuais à mélanger la fournée avec mes mains dénudées jusqu'aux aisselles. C’était beaucoup plus facile pour moi. Quand il était mélangé uniformément, Ben faisait couler le produit dans la grande cuve et alimentait les animaux alors que je rentrais à la cabane me réchauffer et me reposer. Les jours passaient, Ben et moi s’entendions très bien. Faire les corvées dans la grange, le ménage dans la maison et jouer à des jeux de société, tout cela était devenu ma routine quotidienne. J’avais beaucoup de respect pour lui, un type capable d'entretenir ce type de style de vie aussi longtemps. Je m'attendais à ce que tout cela m’endurcisse, mais bizarrement, il semblait que je devenais plus faible avec le temps, le travail extérieur me fatiguait énormément. Bien sûr, je n’avais jamais fait de travaux manuels, mais il me semblait perdre des forces, surtout dans les bras. Ben fabriquait quelques meubles avec de morceaux de bois et des roseaux, tandis que je m’efforçais de faire un peu d’artisanat en plus de la cuisine et du ménage. Je n'avais rien fait de tout cela auparavant, mais je m’occupais et me rendais utile. N'étant pas très fort pour la vie de ranch, il n'y avait pas d’autres choses à faire. Ben faisant tout le travail lourd, je tombais naturellement dans le "rôle de la femme", j’assurais les tâches les plus légères et j'aimais cela. Je trouvais des trésors de patience que je n’avais soupçonné l’existence auparavant. Il a fait plusieurs fois la remarque : je lui rappelais Marie quand il me voyait faire des travaux d’aiguille assis près de la cheminée dans ses robes. Me rendant alors compte que je remontais des souvenirs douloureux à la surface, je me proposais d’arrêter, mais il insistait de continuer parce qu’en fait, cela lui était agréable. J'étais tellement habitué au port de toutes ces choses, que je ne réalisais pas combien mon apparence avait changé, surtout depuis que mes cheveux ont sensiblement poussé en peu de temps. Mais je m'étais aussi ajusté au rôle d'une femme de la campagne. Ben aimait me traiter comme la femme que je paraissais être quand je vaquais à mes occupations dans des robes et de jolies choses. Je venais à aimer ce traitement. Ben était bon, prévenant, et très doux. Je ne pense pas qu’il aurait traité un homme « normal » comme cela, mais il était évident qu’il ne me considérait désormais plus comme un homme. Parfois, dans une humeur espiègle, nous agissions comme mari et femme, un rôle que je commençais à accepter. Peut-être une fois, nous nous sommes emportés trop loin quand j’ai simulé me pâmer dans ses bras après qu’il m'ait complimenté pour un dîner, ou la fois qu’il avait simulé m’embrasser et me caresser quand j’avais fait quelque chose de gentil pour lui. Mon rôle s’étendait maintenant à tout le travail domestique, blanchisserie et repassage compris. En outre, grâce aux conseils de Ben, j’étais presque devenu un cordon bleu ! Un jour, l'électricité est revenue, suivie peu après par le téléphone. Quelque temps après la tempête, nous sommes allés sur les lieux de l’accident. Le terrain était accidenté et fortement boisé, jamais je n’aurais trouvé un dégagement au sol. À l'exception d'un trou brûlé dans les arbres, tout était couvert par une lourde couverture de neige. Pas une trace de mon avion. Quelqu’un qui m’aurait cherché n'aurait rien remarqué. D’autant que, je m’en suis rendu compte par la suite, je m’étais fortement dérouté vers le nord. " Tu veux appeler quelqu’un pour dire où tu es ? " Ben me demandait après que le retour du téléphone... " Non, pas vraiment... Je n'ai aucune famille et personne d’autre que mon patron s’est probablement inquiété, et maintenant, il est vraisemblable qu’il pense que je suis mort. À moins, bien sûr, que tu veux te débarrasser de moi. "J'espérais avec force qu’il me demanderait de rester. J'aimais plutôt ce style de vie, et Ben était un type génial pour le partager. " Pas du tout, Jack... J’espère au contraire que tu vas rester. Je suis terriblement seul ici. Tu peux rester tant que tu veux, aussi longtemps que tu aimeras cette maison. " Le téléphone restait inutilisé. Deux mois ont passé, un soir tandis que je prenais une douche, je remarquais que la peau de mon corps était devenue très douce et lisse et que ma chevelure était rapidement devenue très longue et exceptionnellement épaisse. Malgré tout l'exercice procuré par le mélange des aliments du bétail, les muscles de mes bras devenaient très sveltes au lieu de se développer. Je me demandais si quelque chose dans l'eau me concernait. Pourquoi pas ? Il était sûr qu’elle n’était pas comme l’eau de la ville à laquelle j’étais habitué. Si cela devait se vérifier, je pensais à une entreprise commerciale possible, un centre de santé ou un SPA ou quelque chose comme ça. Les femmes payeraient très cher pour utiliser une eau qui ferait autant d’effets ! A la fin de janvier, lors d’un jour ensoleillé, je réalisais que j’avais trouvé ma vie. Avec émotion, je ressentais une sensation générale de bien-être... de calme... je voyais les choses désormais de façon plus sereine. J’ai perdu du poids, car si ma taille est plus mince, mes hanches semblaient plus larges. J'essayais des blue-jeans de Mary, maintenant je pouvais les boutonner, si bien qu’avec une garde-robe de vêtements de travail plus étendue, j'essayais d'être plus utile à Ben dans la grange. Il est vrai qu’il était difficile de travailler dans la grange dans une jupe. J’étais devenu très expérimenté à mélanger les aliments comme un boulanger le ferait avec la pâte à pain. Un soir, avant le dîner, quand je lavais mes cheveux, maintenant au-dessous de mes épaules, (ni moi ni Ben ne voulaient les couper) j'observais que mes mamelons étaient devenus très sensibles et larges, et que mes seins étaient plus gros. Je pensais que c’était mon imagination et je ne disais rien à Ben. Plus tard, en m’examinant plus attentivement dans le miroir de la salle de bain, je remarquais un changement dans ma silhouette. J'avais développé une silhouette de femme ! Ma taille était svelte, mes hanches et mes fesses s’étaient élargies comme mes seins. Mes bras étaient plus fins et ma peau était plus douce lisse. Je me rasais seulement une fois par une semaine maintenant. Avec ma chevelure longue, je paraissais comme une femme à l'exception d'une petite adjonction devant, et il était devenu très petit. Pas étonnant que Ben dit que j’étais si naturel dans des vêtements de femme ! Mes mamelons étaient si tendus et inconfortables en frottant contre le tissu, que, trouvant un soutien-gorge dans la malle, je l’enfilais pour soulager l'irritation. Quelle différence ! Et je remplissais les bonnets ! C’était le début de mon port d’un soutien-gorge. Dès lors, c’était une nécessité comme mes seins continuer à se développer. Durant le jour, je portais des blue-jeans par routine, mais le soir, quand je travaillais dans la maison, je portais une jupe et un chemisier élégant ou une jolie robe. C’était juste quelque chose que je voulais faire pour Ben (et aussi pour moi-même). Jamais dans ma vie, je n’aurais pensé faire ce que je faisais aujourd’hui, mais maintenant, je voulais... quelque chose avait changé en moi. Je voulais être agréable. Avec mes longs cheveux et maintenant, ma nouvelle poitrine, j’étais devenu définitivement très féminin. Ben remarquait aussitôt que je portais un soutien-gorge et il a négligemment demandé pourquoi j’avais décidé de le faire. Je lui parlais des changements que j'avais remarqués sur mon corps avec le temps, et ma théorie sur l'eau. "Je ne pense pas que c’est l'eau, Jack. J’ai remarqué que tu mélanges l'aliment de bétail avec tes mains." " Yeah, mes mains et mes bras... c’est trop dur avec la pagaie comme tu le fait, il... tu es beaucoup plus fort que je le suis... pourquoi... y a t-il quelque chose de mauvais ?" "Bien, peut-être que tu ne l’as pas remarqué, mais les produit chimiques que tu ajoutes à l'aliment sont des vitamines et des hormones, des estrogènes, je pense qu’ils doivent engraisser les bœufs plus rapidement." "Ah ? Et tu ne penses pas que cela vienne de l’eau ?" "Non... Je n'ai pas remarqué de changements dans mon corps... mais je pense que le produit est absorbé dans ton corps par ta peau. Je me rappelle avoir lu quelque chose sur ça. Je ne me sers jamais de mes mains... c’est pourquoi j'emploie une pagaie, je n'aime pas toucher aucun de ces produit chimiques. Je pense que tu te changes en femme avec les hormones, mon ami. Au moins, tu es déjà correctement habillé," Ben riait. " Oh mon Dieu ! Qu'est-ce que je devrais faire ?" Je ressentais soudainement la même panique que dans l'avion avant le crash. Ben, redevenant sérieux, me regardait et répondait : "Qu'est-ce que tu peux faire, Jack ? Tu as déjà commencé à changer... tu commences une nouvelle vie n'importe comment... le vieux Jack a été tué dans un accident d'avion. Es-tu malheureux avec ta vie ici ?" "Pourquoi pas... réellement j'aime être ici, Ben." "Alors pourquoi n'acceptes-tu pas de devenir "Jackie", et rester ici avec moi. Je prendrais soin de toi. J'aime t’avoir ici. ' Et puis, tu es bien mieux comme une femme, n'importe comment." "Ainsi, je devrais continuer le mélange avec mes mains, c’est cela ?" Je disais, me sentant maintenant coquet. "Tu paries, Jackie ?" Ben dit, clignant de l’œil et me serrant contre lui. Si bien que ce soir là, Jackie est née. Je continuais à mélanger l'aliment, m’exposant au quotidien à des doses massives d’hormones. Mon tour de poitrine progressait jusqu’à remplir mes soutiens-gorges plus que pleinement. Ma silhouette continuait à prendre un contour plus féminin, et avec émotion, je me sentais comme une femme et je l'acceptais. Je portais avec bonheur tous les vêtements de la garde-robe de Mary, les remplissant aussi bien qu'elle le faisait, peut-être mieux. Je dormais dans ses chemises de nuits de dentelles, je portais quotidiennement ses robes. J’ai même trouvé un peu de maquillage et effrontément, je commençais à porter un peu de rouge à lèvre et autres cosmétiques. Après avoir acquis la silhouette d'une femme, je ressentais le besoin de l'améliorer... pour être jolie. Je passais beaucoup de temps à soigner mes cheveux et expérimenter les coiffures les plus audacieuses. Et les résultats ébahissaient Ben. L'attitude de Ben changeait évidemment envers moi. Aussi amical qu'il avait été au début, il devenait maintenant plus attentif et courtois... et même chevaleresque. Il me traitait comme si j'étais une femme réelle et me courtisait. J'avais pris ma décision et j’estimais que c’était la bonne. J’essayerais désormais d'être une femme dans chaque aspect de ma vie. Nous sommes devenus très proches, presque romantiques. Je me sentais particulièrement à l’aise quand je le touchais, quand je coupais ses cheveux ou sa barbe ou même dansais avec lui quand nous pouvions trouver de la musique à la radio. Je n'avais jamais eu de désirs homosexuels avant, mais maintenant, me sentant comme une femme, je le trouvais sexuellement désirable. J’aimais être tenu par lui... il était un type tellement grand, tellement solide. Avec lui, je me sentais en sécurité. A la fin de mars, la neige était partie, les routes étaient ouvertes, et nous avons pu quitter le ranch. Une fois le bétail dehors, j'arrêtais de mélanger leur aliment. Ils passeraient maintenant l'été en pâture. Quand Ben était capable de faire démarrer son camion après avoir hiverner dans un hangar, il m’a emmenée dans la ville la plus proche pour la nourriture et les provisions. Je ne me sentais pas timide, sachant que je passerais bien en femme. Etant si désireux de voir d’autres humains, j'étais excitée d’y aller. Ne sachant pas à quoi m'attendre, je portais ce que je pensais être une robe appropriée, avec des collants et des chaussures à talons moyens, je m’étais coiffé du mieux que j’ai pu. Ben était très heureux de mon apparence. C’était une ville d’assez bonne taille avec une variété de magasins et l'omniprésent magasin Walmart. Ben m’a dit d’acheter ce que j’avais besoin pour la maison et pour moi-même. Nous avions préparé une liste d'articles ménagers, mais il n'y avait rien de prévu en vêtements pour moi : la garde-robe de sa femme était suffisante, à l'exception des sous-vêtements. J'achetais donc beaucoup de lingerie... Je préférais avoir les miens et aussi des soutiens-gorge avec des bonnets plus profonds... c’était nécessaire. Il suggérait que j'achète aussi mes propres produits de maquillage. Je suis même passée chez le coiffeur où après les avoir fait égaliser, j’ai recueilli beaucoup de conseils pour entretenir de longs cheveux, quelque chose que Jack ne devait jamais faire. Ben me m’emmenait à la clinique médicale pour un checkup suite à mon exposition prolongée aux hormones. Après avoir expliquer ma situation au médecin et quelles étaient mes intentions, il me prescrivait une dose d'entretien de Premarin si je ne voulais pas redevenir un homme. Il disait que j'avais reçu une dose importante d’œstrogènes de force animale, absorbée par ma peau, j'avais de la chance que je ne souffrais pas de dommages d'organes. Mis à part les changements que j’avais subis, j'étais OK. J'admettais que j'étais heureux de ces changements. Ben rencontrait des amis et voisins et me présentait comme sa "mariée par correspondance". Je lui demandais de m’expliquer. Il disait que beaucoup d'hommes seuls dans de petites fermes isolées font publier des annonces dans des journaux des grandes villes pour rechercher des femmes à marier. Beaucoup de femmes répondent et viennent visiter, pour voir. Hélas, la plupart d’entre elles ne supportent pas l'isolement et repartent rapidement. Mais, certaines restent et se marient, ce qui pouvait expliquait ma présence. Il disait à tout le monde que je restais à la ferme le temps de savoir si je me plaisais. Je ne pouvais nier... Personne ne me questionnait davantage, et j'étais chaleureusement accueillie comme une fille de la ville, surtout par la femme et les filles de son voisin qui étaient reconnaissantes d’avoir une compagnie féminine. Nous chargions nos achats dans le camion et revenions au ranch. J'étais maintenant plus convaincue que jamais que je resterais ici. J'étais très heureuse de mon nouveau style de vie, comme une femme, et une femme de ranch. La journée était chaude et ensoleillée, les gens avaient été amicaux... la vie était belle. Alors que Ben déchargeait le camion, je préparais le dîner, ensuite, je faisais la vaisselle et me détendait pour la soirée. Je remerciais Ben pour ce jour exquis, lui donnant un petit baiser amical sur le front. Il me tirait doucement, et m’embrassait sur mes lèvres. " Il n'y a pas de quoi, jolie dame. "il disait, tranquillement. " Ben, c’est la première fois que... " " Jackie, mes amis ont fait ta connaissance et tu as fait la leur. Ils m’ont dit que tu étais une jolie jeune femme et que j’avais de la chance de t’avoir trouvé. Je pense qu’ils ont raison. " " Mais tu connais la vérité sur moi... Je ne suis pas une femme réelle. " C'était un tournant dans notre rapport. Si nos sentier allaient... Je devais savoir. " Tu es ma jolie dame, Jackie. " Il ne devait pas en dire plus. Je l'embrassais chaleureusement et passionnément comme une femme le fait à son homme, et il retournait mon baiser. Je me sentais comme une femme réelle et il me répondait. Nous continuions à nous embrassant longuement... Ben s’est levé et m’apportait un paquet emballé dans un papier cadeau. Sans un mot, nos yeux disaient tout cela, lentement et attentivement j'ouvrais et trouvais une longue chemise de nuit de soie blanche avec des incrustations de dentelle au décolleté et sur les larges bretelles. Elle était étourdissante. " Je pensais que tu devrais avoir quelque chose à toi, Jackie. Pourquoi ne pas l’essayer ? " Sans hésitation, j'allais à la salle de bain, me dévêtais complètement et me glissais dans la merveille. Elle m’allait parfaitement. Mes seins développés remplissaient complètement le décolleté. Je revenais dans la pièce principale et sans aucune modestie, je tournais autour de lui pour lui permettre de voir. Il m’attirait vers lui et nous nous embrassions encore, nos langues dansant ensemble. Cette nuit était la première que je passais dans son lit... dans ses bras. J'étais sa femme, émotionnellement et sexuellement. Nous développions un rapport mâle-femelle bien défini. J’ai complètement oublié que j'étais physiquement un mâle. Je me sentais comme une mariée et je ne pouvais pas obtenir assez de lui.. Le 4Juillet, nous étions invités à un pique-nique au ranch de notre voisin. Il fallait une heure de trajet et nous sommes partis tôt le matin. J'avais passé le jour précédent à cuisiner pour l'événement. Arrivant tôt, je me joignais aux femmes pour aider alors tandis que les hommes allaient de leur côté. Bien sûr, j'étais acceptée comme toute autre femme supposée être la nouvelle femme de Ben, conformément « Droit Coutumier ». Nous avons parlé de nos hommes et tôt ou tard la conversation devenait plutôt intime depuis que certaines femmes essayaient de devenir enceinte. Avec toute cette discussion sur l'amour que ces femmes faisaient avec leurs époux, je pouvais fort peu contribuer au bavardage, mais je commençais à bander quand je pensais à Ben. Heureusement, j’avais choisi de porter une longue jupe ample plutôt qu’un jean serré... Après une journée merveilleuse passée à manger, jouer, et bavarder, nous prenions lentement le chemin du retour. Allant se coucher directement, je me suis blottie contre mon homme et je touchais sa virilité intentionnellement avec ma main. Il grossissait aussitôt grand et dur. Sans un mot, il se retournait sur le dos alors que j’enlevais son short, puis je le saisissait fermement et le caressait doucement comme seulement un homme sait comment faire pour un autre homme. Il commençait à gémir avec le plaisir comme ses mains caressaient ma longue chevelure. Je continuais le massage avec ma paume ouverte sur le dessous sensible de son organe comme je l'embrassais passionnément. Bientôt, il culminait comme moi... Je lui chuchotais que je l'aimais quand il tombait endormi. Je nettoyais ma main et son organe comme une femme le ferait pour son époux. Le jour prochain, Ben était particulièrement agréable avec moi, me traitant comme une princesse. Et je le traitais comme le Roi qu'il était pour moi. J'étais devenue très intéressée par la façon que je pourrais le satisfaire sexuellement comme les autres femmes le font pour leurs époux. Je fantasmais sur toutes les options différentes. Un soir, nous sommes allés nous coucher nus. C’était une nuit chaude et odorante. Ben aimait caresser et embrasser mes seins, ce que j'aimais. Mon pénis était très diminué maintenant, et je n’ai pas voulu qu’il le touche. Nous avons commencé notre séance d'amour en nous embrassant, alors que son sexe progressait à mon frottement jusqu’à devenir très rigide. Chaque nuit, nous expérimentons des situations différentes comme un couple "normal" le ferait. Notre amour pour l'autre est devenu très intense. Je ne pouvais pas avoir assez de lui. Nous nous aimons profondément. Il me rendait si féminine. Il a non seulement sauvé ma vie, il m’en a donné une autre, bien meilleure. La prochaine que je serais avec les autres femmes, je pourrais me joindre aux conversations et discussions sur mon époux. Fin
Rebirth     Details
I can't wait for part 4. This has been a good series so far.
Freaky Fantastic Fourth - Part 3 of 4     Details
Nice little story. You need to write more stories.
Incensed     Details
A very interesting story from an off beat angle. I don't know if such a thing could happen but a pregnant man is possible in this day and age of medical advancement. Debbie did a good description of events and effects both in the family and herself (himself?). A little chuckle at the bureaucrat at the end. Well done.
The Joys of Pregnancy     Details

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